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 Textes Liturgiques du jour : 22 Juillet 2014

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2 participants
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Nicolas

Nicolas


Date d'inscription : 12/06/2014
Age : 53

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MessageSujet: Textes Liturgiques du jour : 22 Juillet 2014    Textes Liturgiques du jour : 22 Juillet 2014   EmptyMar 22 Juil - 7:40

Mardi 22 Juillet 2014

Sainte Marie Madeleine
1er siècle. L’une des femmes dévouées à JÉSUS. Elle resta avec MARIE et Jean au pied de la Croix. Le CHRIST ressuscité lui étant apparu au matin de Pâques, elle alla l’annoncer aux Apôtres.

16ième semaine du Temps Ordinaire
(Couleur liturgique : Blanc )
Année A





(Première lecture)
Cantique des cantiques 3 : 1 à 4a


« J'ai cherché celui que mon cœur aime »

Sur mon lit, la nuit, j’ai cherché celui que mon âme désire ; je l’ai cherché ; je ne l’ai pas trouvé. Oui, je me lèverai, je tournerai dans la ville, par les rues et les places : je chercherai celui que mon âme désire ; je l’ai cherché ; je ne l’ai pas trouvé. Ils m’ont trouvée, les gardes, eux qui tournent dans la ville : « Celui que mon âme désire, l’auriez-vous vu ? » À peine les avais-je dépassés, j’ai trouvé celui que mon âme désire : je l’ai saisi et ne le lâcherai pas.

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris







Ta BONTÉ vaut mieux que la vie


Psaume appartenant au recueil de David. Il fait allusion au séjour de David dans le désert de Juda.

[Psaume 62 (63), entièrement]




Psaume 62 (63) : 2, 3 et 4, 5 et 6, 8 et 9


R/ Mon âme à soif de TOI, SEIGNEUR mon DIEU !

DIEU, TU es mon DIEU, je TE cherche dès l'aube :
mon âme a soif de TOI ;
après TOI languit ma chair,
terre aride, altérée, sans eau.
R/

Je T'ai contemplé au sanctuaire,
j'ai vu Ta FORCE et Ta GLOIRE.
Ton AMOUR vaut mieux que la vie :
TU seras la LOUANGE de mes lèvres !
R/

Toute ma vie je vais TE BÉNIR,
lever les mains en invoquant Ton NOM.
Comme par un festin je serai rassasié ;
la joie sur les lèvres, je dirai Ta LOUANGE.
R/

Oui, TU es venu à mon secours :
je crie de joie à l'ombre de Tes AILES.
Mon âme s'attache à TOI,
Ta MAIN DROITE me soutient.
R/

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris






Évangile de JÉSUS-CHRIST selon Saint Jean 20 : 1, 11 à 18

Acclamation de l’Évangile :
Alléluia. Alléluia. Au matin de Pâques, Marie Madeleine annonce aux Disciples : « J'ai vu le Tombeau du CHRIST VIVANT, j'ai vu la GLOIRE du RESSUSCITÉ. » Alléluia.



« On a enlevé le SEIGNEUR, et je ne sais pas où on L'a mis »

Après la mort de JÉSUS, le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin ; c’était encore les ténèbres. Elle s’aperçoit que la pierre a été enlevée du tombeau. Marie Madeleine se tenait près du tombeau, au-dehors, tout en pleurs. Et en pleurant, elle se pencha vers le tombeau. Elle aperçoit deux Anges vêtus de blanc, assis l’un à la tête et l’autre aux pieds, à l’endroit où avait reposé le Corps de JÉSUS.
Ils lui demandent : « Femme, pourquoi pleures-tu ? » Elle leur répond : « On a enlevé mon SEIGNEUR, et je ne sais pas où on L’a déposé. »
Ayant dit cela, elle se retourna ; elle aperçoit JÉSUS qui se tenait là, mais elle ne savait pas que c’était JÉSUS.
JÉSUS lui dit : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » Le prenant pour le jardinier, elle LUI répond : « Si c’est TOI qui L’as emporté, dis-MOI où TU L’as déposé, et moi, j’irai LE prendre. »
JÉSUS lui dit alors : « Marie ! » S’étant retournée, elle LUI dit en hébreu : « RABBOUNI ! », c’est-à-dire : MAÎTRE.
JÉSUS reprend : « Ne Me retiens pas, car Je ne suis pas encore monté vers le PÈRE. Va trouver Mes Frères pour leur dire que Je monte vers Mon PÈRE et votre PÈRE, vers Mon DIEU et votre DIEU. »
Marie Madeleine s’en va donc annoncer aux Disciples : « J’ai vu le SEIGNEUR ! », et elle raconta ce qu’IL lui avait dit.


Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris









Textes du jour, lu sur :
Les services de la liturgie Catholique

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Amicalement, fraternellement
Nicolas

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Thierry
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MessageSujet: Re: Textes Liturgiques du jour : 22 Juillet 2014    Textes Liturgiques du jour : 22 Juillet 2014   EmptyMar 22 Juil - 12:47

Homélie :

Comme la Bien-aimée du Cantique, Marie-Madeleine cherche « celui que son cœur aime » (1ère lect.) « alors qu’il fait encore sombre ». Mais comment pourrait-elle le chercher si elle ne l’avait pas déjà trouvé ?
Son désir témoigne de la présence et de l’action en elle de l’Esprit Saint qui l’attire irrésistiblement vers Jésus. Avec l’intuition sûre de l’amour, elle se rend au rendez-vous de son Seigneur, mais il lui faut du temps pour reconnaître les signes de sa présence.
La mise en scène et les dialogues rapportés par Saint Jean sont d’une esquise délicatesse. Marie ne semble même pas s’étonner de voir deux personnages - identifiés à « des Anges vêtus de blanc » - dans l’espace réduit du tombeau. A moins que le caractère saugrenu de cette situation soit une invitation explicite de l’évangéliste à nous élever à une lecture symbolique. Le propitiatoire posé sur l’Arche de l’Alliance n’était-il pas flanqué lui aussi de deux Anges, « l’un à la tête, l’autre aux pieds » ? Ce tombeau vide apparaît tout à coup comme le Temple de Dieu, le lieu où repose sa gloire, où demeure sa présence.
Ce n’est pas un divin impersonnel qui remplit le tombeau de sa nuée : les « Anges » s’adressent à Marie-Madeleine avec les paroles mêmes que le Ressuscité reprendra quelques instants plus tard. Comme l’étymologie du terme Ange l’indique, ces Etres de lumière sont les messagers, les porte-paroles de Dieu ; ils sont évoqués pour éviter de prononcer le Nom du Seigneur lui-même. Le fait qu’ils prononcent les paroles que reprendra Jésus, sous-entend que celui-ci partage désormais la gloire du « Nom qui surpasse tous les noms » (Ph 2, 9). Il est « le Seigneur », celui devant qui toute créature au ciel et sur la terre fléchit les genoux, et dont toute langue proclame la Seigneurie universelle (cf. Ph 2, 10-11).

Marie n’en est pas encore là dans son cheminement ; pour le moment, elle cherche encore un cadavre. Aveuglée par la tristesse, elle ne reconnaît pas la présence du Vivant au cœur du tombeau vide dont elle se détourne.
Mais le Ressuscité n’est plus lié à un lieu précis ; il n’est plus conditionné ni par l’espace ni par le temps : il est bien réellement présent partout où un cœur le désire ardemment. Marie-Madeleine est littéralement enveloppée de toute part par sa présence qui se fait plus pressante : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » Marie ne se trompe pas vraiment en prenant Jésus pour le jardinier : n’est-il pas le nouvel Adam que le Père a établi gardien de cette terre où est planté l’Arbre de la connaissance du bien et du mal, que sa Résurrection a transformé en Arbre de Vie ?
Il faut cependant un appel particulier, personnel de Notre-Seigneur pour la réveiller de sa torpeur et la faire entrer dans le monde nouveau inauguré par la Pâque de celui qu’elle cherche éperdument.
« Marie » : interpellation empreinte de douceur, mais aussi sans doute supplication de l’amour mêlée d’étonnement :
« comment se fait-il que tu ne me reconnaisses pas ? »

C’est en prononçant notre nom que Jésus se fait connaître, ce « nom nouveau gravé sur une pierre blanche, que personne ne connaît sauf celui qui la reçoit » (Ap 2, 17). Se retournant une seconde fois, c’est au cœur même du tombeau vide devenu chambre nuptiale, que Marie cherche cette fois à retenir son Seigneur en confessant son amour : « Rabbouni ».
Pourtant cette rencontre n’est que préfigurative : le temps des noces n’est pas encore venu. Jésus « monte vers son Père et notre Père, vers son Dieu et notre Dieu » pour nous préparer une place dans sa demeure d’éternité. En attendant le face à face, il nous faut comme Marie, et dans la foi, poursuivre notre route et annoncer nous aussi : « J’ai vu le Seigneur ressuscité au fond de mon cœur. Il a pris autorité sur toutes mes morts et transformé mes tombeaux en sanctuaires de sa gloire ; et voilà ce qu’il m’a dit : “Cherchez-moi de tout votre cœur ; je me laisse trouver par les âmes de désir” ».

« Seigneur arrache de ma poitrine mon cœur de pierre ; cœur lourd, opaque, indifférent, insensible. Et donne-moi un cœur de chair qui “languit de toi comme une terre aride, sans eau” (Ps 62). Accorde-moi de pressentir ta force et ta gloire, afin de réaliser que ton amour éternel vaut mieux que ma pauvre vie mortelle. Je pourrai alors “lever les mains pour te bénir en invoquant ton nom, m’attacher à toi de toute mon âme, et crier de joie à l’ombre de tes ailes” (Ibid.). »
Père Joseph-Marie
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MessageSujet: Re: Textes Liturgiques du jour : 22 Juillet 2014    Textes Liturgiques du jour : 22 Juillet 2014   EmptyMar 22 Juil - 12:55

méditation :

Qui cherches-tu ?

Evangile selon St Jean, chapitre 20, 11-18

Après la mort de Jésus, le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin ; c’était encore les ténèbres. Elle s’aperçoit que la pierre a été enlevée du tombeau. Marie Madeleine se tenait près du tombeau, au-dehors, tout en pleurs. Et en pleurant, elle se pencha vers le tombeau. Elle aperçoit deux anges vêtus de blanc, assis l’un à la tête et l’autre aux pieds, à l’endroit où avait reposé le corps de Jésus.
Ils lui demandent : « Femme, pourquoi pleures-tu ? » Elle leur répond : « On a enlevé mon Seigneur, et je ne sais pas où on l’a déposé. »
Ayant dit cela, elle se retourna ; elle aperçoit Jésus qui se tenait là, mais elle ne savait pas que c’était Jésus.
Jésus lui dit : « Femme, pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » Le prenant pour le jardinier, elle lui répond : « Si c’est toi qui l’as emporté, dis-moi où tu l’as déposé, et moi, j’irai le prendre. »
Jésus lui dit alors : « Marie ! » S’étant retournée, elle lui dit en hébreu : « Rabbouni ! », c’est-à-dire : Maître.
Jésus reprend : « Ne me retiens pas, car je ne suis pas encore monté vers le Père. Va trouver mes frères pour leur dire que je monte vers mon Père et votre Père, vers mon Dieu et votre Dieu. »
Marie Madeleine s’en va donc annoncer aux disciples : « J’ai vu le Seigneur ! », et elle raconta ce qu’il lui avait dit.

Prière d'introduction
Seigneur, « je te cherche dès l’aube : mon âme a soif de toi ; après toi languit ma chair, terre aride, altérée, sans eau » (Ps 62). Viens Esprit Saint, toi qui vis en moi depuis mon baptême, viens me désaltérer !

Demande
Découvrir notre désir de Dieu ancré au plus profond de nous, et l’écouter, le « suivre ».

Points de réflexion

Nous pouvons remarquer une étroite similitude entre la lecture du Cantique des Cantiques (1ère lecture) et l’Évangile. Celle-ci peut nous aider à écouter ce qui nous est dit, à écouter la Parole.

1. « Celui que mon âme désire ». Son âme était enflammée d’un désir qui l’accompagne partout. Il fait nuit, c’est encore les ténèbres, pour qui n’a pas trouvé « celui que son âme désire », et en même temps ce désir est une lueur à l’intérieur. Nous pouvons ne pas être conscients de cette soif. Elle se manifeste de plusieurs manières pour Marie-Madeleine : par un empressement, mais aussi par des pleurs. Elle ne méprise pas ses pleurs, le Christ lui-même ne lui reproche pas ses larmes. Il écoute ce qu’elle dit d’elle-même au moyen de ses larmes, le désir qu’elles expriment. Il entend qu’à travers son désir elle l’appelle « celui que mon âme désire ». Son désir la mène à Dieu. Quel est « celui que mon âme désire » ? Quels sont mes désirs ? Ce désir profond qui ne me quitte ni la nuit, ni le jour ?

2. « J’ai cherché ». Ce désir est le moteur de son action : il la fait se lever, il la fait chercher, il la fait se rendre au tombeau. De nuit, de jour, dans la ville, hors de la ville... Nous pouvons penser que l’objet et le désir sont extérieurs, et pour cela on part à sa recherche à l’extérieur, « par les rues et les places ». Mais n’est-il pas intérieur, n’est-ce pas la force de l’amour ? Cette force qui tient éveillé parce qu’elle tient au cœur, cette force capable de folies comme celle d’une femme s’imaginant rouler seule la pesante pierre d’un tombeau ! C’est une force neuve parce que sans cesse renouvelée. A chaque instant je sens nouvellement ce désir en moi ; c’est toujours le même désir mais je le ressens maintenant ; c’est le même qu’hier, mais je le vis aujourd’hui. D’où vient ce désir, à l’origine et à chaque moment ?
Voici ce qu’écrit la petite sainte Thérèse par rapport au désir, notamment les désirs qui nous paraissent trop grands, inatteignables : « Le Bon Dieu ne saurait inspirer des désirs irréalisables je puis donc malgré ma petitesse aspirer à la sainteté [...] Je désire accomplir parfaitement votre volonté et arriver au degré de gloire que vous m’avez préparé dans votre royaume, en un mot, je désire être sainte, mais je sens mon impuissance et je vous demande, ô mon Dieu ! d’être vous-même ma sainteté ». Où est- ce que je cherche ? Auprès de qui ?

3. « J’ai vu le Seigneur ! » Trouvé ou être trouvé ? Cette question n’a pas ici sa réponse. Que ce soit la Bien-aimée du Cantique ou Marie-Madeleine, elles ont cherché, mais elles ont été trouvées ( : « ils m’ont trouvée » et « Marie ! ».) Et c’est seulement à partir de ce moment-là qu’elles atteignent l’objet de leur désir. Elles arrivent même à le « posséder » : « je l’ai saisi et ne le lâcherai pas ». Cela semble différent pour Marie-Madeleine puisque nous entendons : « Ne me retiens pas », elle ne pourrait donc pas rester avec « celui que mon âme désire » ?! Cruel de la part du Ressuscité ou déplacé de la part de Marie-Madeleine ? Ni l’un ni l’autre. Le « J’ai vu le Seigneur ! » est justement un cri de joie parce qu’elle a « saisi et ne le lâcher[a] pas » celui qu’elle a désiré : il est EN elle. Elle a dépassé les éléments extérieurs et le côté sensible. Le Christ lui a fait le don de la présence intériorisée. Le Christ ressuscité vit en nous. Nous sommes son Corps, nous vivons en lui.

Dialogue avec le Christ
Viens jusqu’à moi, Seigneur ressuscité, je ne suis pas capable de venir à toi, de me convertir, de te trouver. Mais dis un mot et je me laisserai trouver par toi, et je me tournerai vers toi, et je serai guéri.

Résolution
Écouter mon désir de Dieu.
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