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 23 septembre : Saint Pio de Pietrelcina (Padre Pio)

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AuteurMessage
Thierry
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Thierry


Date d'inscription : 06/12/2009
Age : 58

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MessageSujet: 23 septembre : Saint Pio de Pietrelcina (Padre Pio)   23 septembre : Saint Pio de Pietrelcina (Padre Pio) EmptyMar 23 Sep - 10:00

Bien que le lien du jour ne le mentionne pas, l'Eglise fête en ce jour Padre Pio


 23 septembre : Saint Pio de Pietrelcina (Padre Pio) Padre-pio-3

Biographie

             
Premier prêtre stigmatisé, Padre Pio de Pietrelcina, né Francesco Forgione, est l’héritier spirituel de saint François d’Assise.  Padre Pio, que Dieu a gratifié de charismes particuliers, se consacra toute sa vie au salut des âmes.  Des témoignages de la sainteté du moine continuent de nous parvenir en grand nombre, en raison de la gratitude des personnes qui ont fait appel à son intercession pour obtenir la guérison du corps ou de l’âme. .

Francesco Forgione est né d’un foyer modeste le 25 mai 1887 à Pietrelcina, au sud de l’Italie.  Son père, Grazio Forgione, et sa mère, Maria Giuseppa de Nunzio, avaient déjà d’autres fils.  Contrairement à une majorité d’enfants de son âge, Francesco éprouva très tôt le désir de consacrer sa vie à Dieu.  Mamma Peppa a raconté:  «Il était sage et obéissant, ne se permettant aucun caprice.  Matin et soir, il allait à l’église prier Jésus et la Sainte Vierge.  Le jour, il ne sortait pas avec ses amis.  Quelquefois, je lui disais: «Francesco, tu devrais sortir jouer».  Mais il refusait, disant:  «Je ne veux pas y aller parce qu’ils blasphèment».

Abbé Augustin de Saint-Marc-en-Lamis, qui fut l’un des directeurs spirituels de Padre Pio, a écrit dans son journal que le jeune Francesco avait connu, dès l’âge de cinq ans, des expériences mystiques.  En effet, les apparitions et les moments d’extase étaient si fréquents, chez lui, qu’il croyait que les autres enfants en connaissaient aussi.

Francesco chérissait le rêve de donner sa vie au Seigneur.  Ce grand désir se réalisa quand, le 6 janvier 1903, à l’âge de seize ans, il fut admis comme clerc dans l’Ordre des Capucins.  Le 10 août 1910, il fut ordonné prêtre en la Cathédrale de Bénévent.  Ainsi commença sa vie sacerdotale mais, en raison d’une santé plutôt fragile, il séjourna en divers couvents du sud de l’Italie.  Ce n’est qu’à partir du 4 septembre 1916 qu’il fut établi au couvent de San Giovanni Rotondo, sur le Gargano, où il resta, hors quelques brefs et rares voyages, jusqu’à sa mort, le 23 septembre 1968.

Tout au long de cette période, Padre Pio commençait sa journée très tôt, s’éveillant à l’aube pour lire le bréviaire.  Puis il descendait à l’église pour célébrer l’Eucharistie, après laquelle il faisait action de grâces devant le Saint Sacrement.  Ses journées se partageaient entre l’oraison et la confession.

L’un des événements marquants de la vie de Padre Pio se produisit le matin du 20 septembre 1918 alors que, priant devant le crucifix, au sanctuaire de la vieille église, il reçut le don de stigmates visibles, qui demeurèrent ouverts et sanglants pendant un demi-siècle. Ce phénomène suscita l’intérêt, non seulement d’une légion de médecins, de journalistes et de spécialistes, mais encore, l’attention de gens simples qui, au fil des ans, se rendirent à San Giovanni Rotondo pour rencontrer le saint moine.

Dans sa lettre du 22 octobre 1918 à l’abbé Benedetto, Padre Pio a écrit:  «Comment vous décrire ma crucifixion …  Je me trouvais au sanctuaire, après avoir célébré la messe, lorsque je fus envahi d’une paix qui ressemblait à un doux sommeil.  Tous mes sens entrèrent dans une quiétude indescriptible.  Cela se produisit en l’espace d’un éclair. M’apparut, au même moment, un mystérieux personnage ressemblant à celui que j’avais vu le soir du 5 août, à la différence que ses mains et son côté saignaient.  Sa vue me saisit.  Je ne saurais dire ce que je ressentis à cet instant et je serais mort si le Seigneur n’était pas intervenu pour soutenir mon cœur, qui bondissait dans ma poitrine.» - «Le personnage disparut et je constatai que mes mains, mes pieds et mon côté saignaient. Vous imaginez le tourment que j’éprouvai; d’ailleurs, je le ressens encore, presque chaque jour.  La plaie au côté saigne continuellement, mais surtout du jeudi soir au samedi.  Père, je me meurs de peine pour le tourment et la confusion que je ressens en mon âme ...  Jésus, si bon, me fera-t-il la grâce de soulager la confusion que j’éprouve pour ces signes extérieurs?  J’élèverai bien haut la voix, ne cessant de le conjurer de retirer de moi, par son infinie miséricorde, non le tourment, non la souffrance ...  mais ces signes extérieurs qui me causent une confusion et une humiliation quasi insupportables.»

Pendant des années, des quatre coins du monde, des fidèles vinrent requérir du prêtre stigmatisé son intercession puissante auprès de Dieu.  Pendant les cinquante années qu’il a vécu dans l’humilité, la prière, le sacrifice et la souffrance, Padre Pio fonda deux organismes: l’un vertical, vers Dieu, les Groupes de prière, l’autre horizontal, vers son prochain, un hôpital moderne, La Maison du Soulagement de la Souffrance.

En septembre 1968, des milliers de fidèles et de dirigés spirituels de Padre Pio se réunirent à San Giovanni Rotondo pour célébrer le 50e anniversaire des stigmates et tenir le quatrième congrès international des Groupes de prière.  Or, personne n’aurait imaginé qu’à 2h30, le 23 septembre 1968, la vie temporelle de Padre Pio de Pietrelcina allait prendre fin.

Le 20 mars 1983 le processus diocésain de canonisation commence, pour se conclure le 21 janvier 1990. Il donna à Padre Pio le titre de Vénérable en 1998 et de Béat 1999, lors d’une célébration mémorable présidée par le Saint Père Jean-Paul II sur la place Saint Pierre.

Le 16 juin 2002 il a été canonisé par Jean Paul II, qui, lorsque lui même n'était qu'encore qu'un jeune prêtre avait reçu de sa main le sacrement du Pardon.

Ce moine capucin, de son vrai nom Francisco Forgione, présente la particularité d'avoir " expérimenté " quasiment tous les phénomènes miraculeux relatés dans les plus merveilleuses histoires de saints. Or les faits en cause sont contemporains, certains ont été constatés par des centaines de personnes et de nombreux athées, a priori dubitatifs ou sarcastiques, se sont convertis brutalement devant l'évidence de ce qu'ils constataient.


Quelles étaient donc les performances de ce prêtre hors du commun?
Né en 1887 à Pietrelcina, non loin de Naples, il demanda à 15 ans à entrer au couvent des capucins. Dès le noviciat, il eut d'extraordinaires expériences du démon qui le torturait physiquement et l'empêchait de dormir. Ce n'était qu'un début et toute sa vie, comme le curé d'Ars, il dut affronter le diable. En 1915, il reçoit les stigmates de la passion du Christ, ce qui lui vaut des douleurs permanentes et des difficultés à marcher ; la plaie du côté saigne au point de remplir une tasse de sang par jour. La plaie ne présente jamais d'inflammation, elle est nettement ouverte. Les stigmates des mains et des pieds sont recouverts d'une mince peau qui obture le vide de l'emplacement des clous de la crucifixion ; ce vide est nettement perceptible à la palpation.

De nombreux médecins, croyants ou non, ont examiné ce phénomène et n'y ont trouvé aucune explication ni analogie avec quelque autre fait médical.

La spiritualité du père Pio fait aussi des miracles, ou plutôt c'est Dieu qui en fait par son intermédiaire. Des foules viennent à son monastère de San Giovanni Rotondo pour se confesser et les pénitents constatent avec stupéfaction que le père lit dans leur coeur à livre ouvert: il leur rappelle tel événement caché de leur vie ou bien refuse la communion à quelqu'un qui, parmi la foule, n'est pas en règle avec sa conscience. Pendant la célébration de la messe, qui dure parfois trois heures, son visage exprime une émotion d'un autre monde. Il verse souvent des flots de larmes ou transpire à grosses gouttes malgré le froid. Les bouleversements spirituels qu'il provoque journellement chez ses visiteurs s'accompagnent parfois de guérisons miraculeuses. Ce fut le cas d'un médecin athée qui niait vigoureusement les pouvoirs du père : atteint d'un cancer au dernier stade, il finit par accepter la visite du père Pio qui provoqua sa guérison et le transforma en excellent chrétien.

Parmi les phénomènes les plus étranges cités à propos du père Pio, les moindres ne sont pas les cas de bilocation. Ainsi un général sur le point de se suicider vit apparaître un moine qu'il n'avait jamais vu et arrêta son geste.

Plus tard, ayant appris l'existence du père Pio, il se rendit au monastère et reconnut en lui ce moine qui l'avait sorti du désespoir : le père lui sourit et lui dit: "vous l'avez échappé belle"! En fait, il arrivait que, pendant ses confessions, il s'arrêtat subitement comme " absent " pour reprendre le cours de son entretien de longues minutes plus tard. Pour autant que l'extrême discrétion du père Pio permettre de le savoir, il était très conscient de ses " déplacements " et savait parfaitement où il allait.
Le père Pio est parti pour un voyage définitif auprès de Dieu en 1968. Son couvent a tenu un registre de tous les faits miraculeux dont ont témoigné des dizaines de pélerins.


Dernière édition par Thierry le Mar 23 Sep - 16:27, édité 1 fois
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Thierry
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Thierry


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MessageSujet: Re: 23 septembre : Saint Pio de Pietrelcina (Padre Pio)   23 septembre : Saint Pio de Pietrelcina (Padre Pio) EmptyMar 23 Sep - 10:07

Padre Pio et le Purgatoire :

Padre Pio encourage à prier pour les âmes du purgatoire et pour les pécheurs

LA COMMUNION DES SAINTS

Padre Pio avait l'habitude de recommander à ses fils spirituels la dévotion aux ames du purgatoire.
Il suggèrait de prier souvent pour les esprits trépassés qui se trouvent encore dans un état de purification et de leur demander des graces et des faveurs. Il disait que puisqu'ils se trouvaient dans une condition de souffrances en attente de la béatitude, ils appréciaient grandement l'aide des prières des vivants et qu'ils se souviendraient avec
une grande sollicitude de leurs bienfaiteurs.

Le père était très lié aux trépassés. Sur sa table de nuit, il conservait les photos de ses amis et parents défunts.Lorsqu'il parlait d'eux, il ne les traitait pas comme des personnes lointaines, mais vivantes et présentes.
Parfois, quand il était seul dans sa cellule, il parlait avec les morts à haute voix, comme s'il les voyait. En réalité, il les voyait vraiment. Les religieux qui vécurent à ses cotes ont raconté qu'il leur disait souvent avoir reçu la visite de personnes décédées qui lui demandaient des prières.

"TOUS UNIS DANS LA CHARITE"

Tout ce monde de l'au-delà était, pour Padre Pio, une réalité concrète. Tout en vivant intensément chaque instant de son existence terrestre, sa pensée était toujours fixée sur le monde spirituel invisible car il savait que c'était l'univers de la réalité absolue.

Son rapport avec les saints était très concret. Il considérait les saints
comme des frères chanceux qui avaient atteint la patrie, qui étaient proches de Dieu, et qui pouvaient donc l'aider et aider les gens pour lesquels il priait.  Il était toujours très occupé à prier pour quelqu'un en particulier.Il promettait à ceux qui allaient le trouver pour se recommander à ses prières, de s'occuper d'eux. Et il tenait ses promesses.

Ce comportement du bienheureux vis-à-vis de l'au delà pourrait sembler simpliste aux yeux de certains, car trop semblable au comportement vis-à-vis des gens en ce monde.En réalité, il est faux de penser que le monde de l'au delà est totalement différent du notre. Les
personnes qui meurent et passent dans l'au-delà ne perdent pas leur identité.Elles parviennent à la perfections de ce qu'elles sont. Elles entrent dans une dimension privée des limitations imposées par la matière, par la contingence de notre condition.Mais leur personnalité, leur âmes, leur intelligence, les valeurs spirituelles absolues dans lesquelles dans lesquelles elles ont cru en ce monde, leurs liens affectifs et leurs sentiments, ne changent pas : tout est clarifié, purifié et amplifié par la vérité totale dans laquelle elles se trouvent désormais.
Tout ceci est la "communion des saints" que nous professons dans le "credo", chaque dimanche à la messe. La communion des saints signifie que tous les fidèles, ne formant qu'un seul corps en Jésus-Christ, profitent de tout le bien qui est et qui se fait dans ce corps, à savoir dans l'Eglise universelle. Les saints du paradis et les ames du purgatoire font partie,eux aussi, de la communion des saints, car liés entre eux et avec nous par la charité, les premiers reçoivent nos prières et les seconds nos suffrages, et tous intercèdent pour nous auprès de Dieu. Les hommes et les femmes vivant sur la terre, les ames du purgatoire et les saints du paradis forment le meme corps dans le Christ et participent à tout le bien qui se fait dans ce corps.

Padre Pio enseignait, avec la plus grande simplicité unie toutefois à un sens très concret des choses, à vivre la vérité du corps mystique. Il priait et il souffrait pour aider spirituellement les personnes vivant en ce monde, mais aussi celles qui se trouvaient au purgatoire. Il s'était offert en victime pour sauver  les pecheurs et pour libérer les ames du purgatoire de leur prison.
" Depuis longtemps je  sens un besoin en moi : m'offrir au seigneur comme victime pour les pauvres pécheurs et pour les ames du purgatoire. Ce désir n'a cessé de grandir toujours davantage en mon coeur, si bien qu'il est devenu, dirais-je, une forte passion. J'ai fait plusieurs fois cette offrande au Seigneur, le conjurant de vouloir déverser sur moi les chatiments qui sont préparés pour les pécheurs et pour les ames du purgatoires, meme en les centuplant sur moi pourvu qu'il convertisse et sauve les pécheurs et admette bien vite au
paradis les ames du purgatoire. Mais je voudrais faire cette offrande au Seigneur pour lui obéir,car il me semble que c'est précisément Jésus qui le veut.(Au Père Benedetto de San Marco in Lamis)."


Cleonice Morcaldi nous a également laissé ce témoignage lumineux
  "-Un jour, en confession, je dis au Père : " Je remets entre vos mains toutes mes prières : servez-vous pour les ames du purgatoire que vous connaissez." Padre Pio me répondit :
-"Pourquoi ne penses-tu  pas à ton papa ?"
  " Il y avait 8 ans que mon père était mort et, inquiète, je lui demandai : "Il est encore au purgatoire ?"
Voyant ma douleur, Padre Pio regretta presque de m'avoir dit cette phrase, mais il me répondit tout de meme : "OUI"., "Quelles prières dois-je faire pour l'en sortir ?", lui demandai-je.    "Toute prière est bonne, me dit-il. Le chapelet, le chemin de
croix, des actes de charité envers son prochain et meme la méditation;"  "Je commençai à prier pour mon papa, pour qui je n'avais  plus prié depuis longtemps.Nous étions presque à Paques. Le vendredi saint, dans l'église de l'Addolorata, le père m'inspira de dire un chapelet. Quand j'eus terminé, je ressentis une   grande joie  dans mon coeur.Le jour de Paques, j'allai me confesser au père et lui demandai : --" Père, mon papa  souffre-t'il beaucoup au purgatoire ?"  " Mais qui t'a dit qu'il était au purgatoire ?", me dit-il.  "Mais, c'est  vous qui me l'avez dit", répondis-je.       "Ah,oui", me dit-il maintenant je te dis qu'il n'y est plus.Samedi  saint, quand Jésus est ressuscité, il est parti avec lui au ciel;"

Padre Pio conseille de demander la grâce de passer de notre lit de mort au paradis

question à Pardre Pio:
-- Pour les ames du purgatoire, vaut-il mieux offrir le chapelet ou le chemin de croix ?      
 --L'un et l'autre. Réfléchis également sur le fait que les indulgences n'auraient pas existé sans la passion de Jésus.
-Je demande à Dieu de le faire ici, le purgatoire. dit Cléonice
-Moi aussi je demande cette grace. Ce n'est pas à celui qui commence, mais à celui qui finit que Jésus accordera la récompense.
-Comment dois-je faire le purgatoire,ici sur la terre, pour aller tout de suite au ciel? (Cléonice)
-En acceptant tout des mains de Dieu.En lui offrant tout avec amour et action de graces, car il nous donne la possibilité de passer de notre lit de mort au paradis.
-Aide moi à faire le purgatoire. (Cléonice)
-C'est mieux pour nous, et c'est plus parfait de le faire
ici-bas : en souffrant par amour, on glorifie le Seigneur, son amour, sa miséricorde. En souffrant au purgatoire, on glorifie sa justice. Mais la justice suppose la faute. Je préfère glorifier son amour ici-bas.
 
 

Apparitions d'âmes du Purgatoire dans la vie de Padre Pio

"fioretti de padre pio" de Pascal Cataneo    editeur médiaspaul

chap.7 p.147. mendiants de l'au-delà

1ère apparition d'âmes du purgatoire au Padre Pio
quatre capucins morts silencieux de la  cheminée

padre pio fit ce récit aux "fratini" (jeunes garçons éduqués par les capucins), un soir de février 1922, à san giovanni rotondo : " maintenant, écoutez ce qui m'est arrivé
voici quelques jours : descendu un soir près du feu (le foyer de la communauté) pour m'y réchauffer, j'eus la surprise d'y trouver quatre religieux que je n'avais jamais vus, assis à coté de la cheminée, avec le capuchons baissé, et silencieux. je leur adresse le salut habituel : " loué soit jésus-christ" ; aucun ne me répondent. étonné, je les regarde attentivement pour savoir qui ils sont, mais je ne les reconnais pas. je reste debout quelques minutes, tout en les observant, et ils me paraissent souffrir. je les salue de nouveau sans obtenir de réponse.
"j'allai alors demander si des confrères de passages étaient là. le père supérieur me répondit: "padre pio, qui monterait jusqu'ici par ce mauvais temps ?
-père gardien,en bas, auprès de notre feu, il y a quatre capucins assis sur les bancs, avec leurs capuchons baissés, et qui se chauffent. je les ai salués, mais  ils n'ont pas répondu. je les ai regardés attentivement et n'en ai reconnu aucun. je ne sais pas qui
ils sont."        "le père gardien s'écria : " serait-il possible que des frères de passage soient arrivés sans que je le sache ? allons voir ! ".                                                                           "mais auprès du feu nous ne trouvames personne. je compris alors qu'il devait s'agir de quatre religieux défunts qui subissaient leur purgatoire en ce lieu ou ils avaient offensé le seigneur. je suis alors resté toute la nuit en prières devant le saint - sacrement pour leur délivrance."

2ème apparition d'âmes du purgatoire au Padre Pio
Le mendiant brûlé vif par sa cigarette pendant son sommeil

Padre Pio fit cet autre récit à Mgr Costa, évêque de Melfi, un après-midi de mai 1922 :    " Nous étions en pleine guerre mondiale. Le couvent de San Giovanni Rotondo - comme tous ceux de la Province Monastique - était dépeuplé, tous les religieux ayant  été appelés sous les drapeaux; le Collège séraphique occupait le couvent, dirigé par Padre Paolino da Casacalenda et par moi-même.
"Par un après-midi d'hiver, Assunta di Tommaso, soeur de Padre Paolino, arriva au couvent. Elle venait voir son frère pour quelques jours. Il avait neigé abondamment. Aussi, avant la tombée de la nuit, le religieux conseilla- t-il à sa soeur de redescendre au village et d'aller loger chez Rachelina Russo, bienfaitrice du couvent. Assunta refusa de partir seule : retourner au village à travers cette neige, c'était courir le risque d'être mise en pièces par quelques loup errant et affamé, d'être agressée par un malandrin. Padre Paolino lui rappela alors : " Mais, Assunta, tu sais que le couvent est soumis à la clôture, et que les femmes ne peuvent y entrer. Que faire ?
- Fais- moi apporter une couchette dans
cette pièce et, pour cette nuit, je  m'en contenterai. Demain, j'irai chez Rachelina. - Bon, si tu t'accommodes de passer la nuit ici dans le parloir , je vais te faire préparer un lit, et tu pourras te reposer tranquillement."
" Il demanda à quelques « fratini » d'installer un lit de camp et d'allumer du feu dans la cheminée pour réchauffer la pièce.  Après le dîner, après avoir installé les garçons au dortoir, Padre Paolino  dit à sa soeur :  « je vais réciter le chapelet à l'église. Tu n'as qu'à bavarder avec Padre Pio. »
- " Non, j'y vais aussi."
En sortant, ils fermèrent la porte  et je restai seul auprès de la cheminée . J'étais en train de prier, les yeux mi-clos, quand la porte s'ouvrit. Je vis alors un vieillard enveloppé dans un manteau, semblable à ceux que portaient les paysans
de San Giovanni Rotondo. Il vint s'asseoir près de moi. Je le regardai, mais sans me demander comment il avait pu entrer dans le couvent à cette heure.
"Qui es tu, que veux tu ? lui dis-je.
- Padre Pio, je suis Pietro Di Mauro, fils de feu Nicolas, surnommé Precoco. Puis il ajouta :  Je suis mort dans ce  couvent, le 18 septembre 1908, dans la cellule n°4, quand il y avait encore  ici un asile pour les mendiants. Un soir, sur mon lit, je me suis endormi en fumant une cigarette encore  allumée. Elle a mis
le feu à la paillasse, je suis mort asphyxié et brûlé. Je suis encore en purgatoire. J'ai besoin d'une sainte messe pour être délivré. Le seigneur m'a permis de venir vous demander votre aide.
Sois tranquille, lui dis-je, demain je célèbrerai ma messe pour ta délivrance."                  "Je me levai et l'accompagnai jusqu'au portail du couvent pour le faire sortir. A ce moment, je me rendis compte que ce portail était fermé et barricadé. Je l'ouvris et renvoyai le vieillard. La lune éclairait comme en plein jour la place
recouverte de neige. Quand je ne le vis plus devant moi, saisi de crainte, je refermai le portail, revins dans le parloir et me sentis défaillir.
Padre Paolino et sa soeur revinrent après avoir dit le chapelet.
En me voyant blême, décoloré, ils crurent à un malaise. Après avoir souhaité une bonne nuit à Assuna, Padre Paolino m'accompagna à ma cellule. Mais je ne soufflai mot de l'apparition du défunt.
"Quelques jours après le départ d'Assunta, Padre Paolino voulut savoir ce qui m'était arrivé le soir ou je m'étais  senti mal. Je lui avouai jusqu'aux moindres
détails de cette apparition d'outre-tombe, et j'ajoutai : " Ce soir là , je ne pouvais pas dire en présence de ta soeur qu'un défunt m'était apparu, car elle n'aurait pas voulu dormir dans cette pièce"...         Padre Paolino voulu vérifier ce qui concernait ce mendiant. Après avoir tout noté, il se rendit au bureau de
l'état civil de la commune,  et il eut confirmation de tout ce que Padre Pio lui avait raconté.

3ème apparition d'âmes du purgatoire au Padre Pio
Apparition d'un novice dans le choeur de l'église

Un autre récit de Padre Pio rapporte l'apparition d'un novice.

Il priait un soir dans le choeur quand il fut intrigué par un remue-ménage autour de l'autel.  Croyant que quelqu'un était entré dans l'église avec de mauvaises intentions, il demanda : "Qui est-là ?" Pas de réponse. Le père se remit en prières, supposant que c'était le vent, mais le bruit se fit à nouveau entendre. Padre Pio s'approcha alors de la grille du choeur, regarda le maitre-autel et aperçut la silhouette d'un jeune novice en train de faire du nettoyage. Il lui dit : "Que fais-tu là-bas ? --- Je suis en train de nettoyer.---. Mais comment peux-tu faire
cela dans l'obscurité ?" Et le novice répondit :     "Je suis un novice capucin qui fait ici son purgatoire. J'ai besoin de secours." Puis  il disparut.     Le lendemain, Padre Pio vint à son aide en célèbrant la messe pour lui.


Source : www.Purgatoire.net /www.JesusMarie.com
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